Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
Cocu, ivre et heureux
Nous vivions ensemble depuis 14 ans et la situation commençait à devenir un peu fade. Nous avons donc pris des congés pour partir en vacances dans un lieu exotique au bord de la mer. La bonne atmosphère des vacances nous a vite détendu, ainsi que Sofia, qui est devenu plus tolérante et se permets quelques verres de rhums arrangés.
J’ai remarqué que non seulement elle était légèrement pompette dû aux boissons qu’elle buvait, mais elle était aussi un peu distraite par les couples romantiques qui traînaient sur la plage. C’était étrange, car elle est généralement une personne très cool qui ignore et n’aime pas de telles démonstration de passion en publiques. Mais comme je l’ai dit, l’air festif de l’endroit commençait à avoir un effet positif sur nous. Je ne pas pouvait m’empêcher de commenter les tenues de Sofia qui semblait devenir de plus en plus dévergondé au fil des jours. Elle s’habillait généralement de façon conservatrice, mais elle portait maintenant une mini jupe, un dos nu fleuri, un chapeau assorti et des lunettes noires.
Le troisième jour, elle buvait presque autant que moi, bien que son choix fût des cocktails au rhum doux. Ce soir-là, nous sommes retournés tard à l’hôtel et avons demandé le dîner en chambre. Je suis entré dans la salle de bain pour une rapide toilette du visage avant que les plats n’arrivent. En sortant, j’ai été surpris de voir le garçon de chambre en train de servir déjà les plats dans la pièce un peu sombre. Ce qui m’a surpris encore plus, c’est que Sofia se déshabillait avec désinvolture, sans remarquer la présence du garçon. Je jetai un coup d’œil au miroir près du mur et vis que le garçon la regarder. Il ne semblait pas me remarquer et perdait du temps à tâtonner avec nos couverts, les yeux fixés sur ma femme.
J’ai tourné mon regard vers Sofia. Elle était en train de retirer son tee shirt, le faisant passer sur sa tête, mais elle avait du mal à retirer le tee shirt coincé dans sa barrette à cheveux. Les mains en l’air et le visage recouvert du tee shirt, elle a offert une vue magnifique sur une partie de son corps. Son string noire était légèrement visible. Le ventre bronzé était bien fait pour ses 36 ans. Ses seins étaient enfermés dans un soutien-gorge en dentelle noire.
J’ai de nouveau jeté un coup d’œil sur le garçon. Il avait cessé de jouer avec la vaisselle. Debout, il fixa ma femme hypnotisé par elle. Cherchant à éviter une situation inconfortable, je fermai doucement la porte en laissant un petit espace. J’ai ouvert le robinet pour cacher tout autre bruit que je pourrais faire accidentellement. Tout à coup, je me sentais excité. Voir le garçon regarder Sofia se déshabiller aurait normalement dû me mettre en colère. Mais au contraire …
Tandis que je réfléchissais à quoi faire, j’ai senti ma queue battre comme mon cœur à travers la serviette dans la quelques j’étais enveloppé. Embrasé, je suis sorti de la salle de bain. Elle retirait maintenant de son jean. Alors qu’elle se retournait et se penchait pour le ramasser, je réalisai qu’il devait avoir une vue grandiose de son cul ouvert par le mouvement de se baisser. Je détournai les yeux d’elle pour regarder le garçon, mais il n’était plus là. Il avait filé.
En tout cas, soulagé que le moment soit fini, je me dirigeai rapidement vers la porte et la verrouilla.
Laissant glisser ma serviette à mes pieds, déjà excité, je me dirigeai vers Sofia pleine comme une huître et décrocha son soutien-gorge par derrière. Je la retournai pour qu’elle soit face au miroir. Elle ne portait plus que son string noire. Moi, j’étais complètement nu et la bute tendu. Sous une lumière tamisée, je regardais sa peau brillante dans une teinte brun doré par le bronzage. J’ai pris ses seins en main et les ai malaxé doucement. Elle gémit et pencha sa tête en arrière vers moi. Je fixai le reflet du miroir alors qu’elle poussait sa poitrine en avant et en même temps cherchait ma queue plaqué contre son dos. Ses yeux étaient à moitié fermés et ses lèvres s’ouvrirent sensuellement.
Soudainement, j’ai remarqué un mouvement derrière les rideaux. Il est là, cet enfoiré! J’ai pensé… Me sentant plus excitée à l’idée d’être regardé, j’ai murmuré à Sofia que nous étions surveillés par le garçon de chambre. Dans son état d’ébriété bien entamé, elle a cru que je plaisantais et a rigolé en me disant « toi et tes fantasme ! ». Je la tournai vers moi et posai une main sur le bas de son dos pour la coller à moi. Avec l’autre, j’ai fait signe au garçon. Soudainement conscient d’avoir été vu, il se rapprocha sans bruit, prudent comme un a****l traquant sa proie. Je lui ai fait signe de se déshabiller. Cela le surprit encore plus et il jeta un coup d’œil à la porte. Il se débarrassa rapidement de sa chemise, de son pantalon et de son boxer. Apparemment très nerveux, il s’avança vers nous. Je pouvais voir qu’il avait une grand longue et fine verge en érection qu’il avait sûrement caressé en nous observant de derrière les rideaux. Dans un mouvement rapide, j’ai baissé son string jusqu’à ses genoux. Il la regardait toujours. Tirant le string vers le bas avec mon pied, je lui murmurai de nouveau.
“Et si un garçon de chambre te voyais dans cette tenue d’Eve?”
“Je le serrais dans mes bras et l’embrasserais!” Et elle rigola.
“Que feriez-vous d’autre?”
“Je lui ferais manger ça!” dit-elle en se pelotant les seins.
La tenant fermement, je la pousse soudainement vers lui. Les deux ont été surpris. Par réflexe, il tendit la main pour l’empêcher de tomber, mais titubante elle tomba sur le garçon. Elle s’agrippe à son cou pour ne pas tomber au sol alors que ses genoux faiblissaient. Se remettant momentanément de son étourdissement à cause des événements soudains, elle s’écria:
“Denis!”
“Oui madame!” a marmonné le garçon, confus et embarrassé.
“Alors vous deux, vous vous connaissez!” J’ai ri.
Je me suis dirigé vers la table, j’ai versé une boisson forte et je me suis assis sur le canapé. Pendant se temps elle était parvenue à rejoindre le lit, en trébuchant à moitié. Elle essaya rapidement de se faufiler sous les couvertures alors que Denis se tenait debout, ne sachant que faire.
Je ris et lui tendis le verre.
“Bois le si tu veux, Denis, tu en as besoin.”
“Oui monsieur.” Il le bût cul sec.
“tu peux t’en faire un autre!” J’ai dit en souriant.
Il en prit deux de plus.
J’ai avancé jusqu’aux pieds du lit et j’ai retiré le drap. Elle était allongée dans toute sa gloire, tentant vainement de cacher son intimité. Je ris énormément et montai le lit entre ses genoux. En les écartant, je lui fourrai un doigt dans sa petite chatte. Elle était déjà mouillée. La petite promenade jusqu’au lit dans les bras de Denis avait dû l’excité. Tenant ses chevilles au niveau de mes épaules, je poussai mes hanches en avant. Frotter sa petite chatte chaude et humide a réveillé fait durcir ma bite encore plus. En posant ses petites et jolies jambes sur mes épaules, je dirigé ma bite en douceur dans le trou de sa chatte. Je lui ai donné quelques coups de rein doux et lents, en veillant à ce qu’elle soit bien mouillé. Maintenant, joignant ses cuisses, je poussai fort et profondément ma bite jusqu’à la garde. Elle haleta… Lentement, me retirant totalement, je me suis de nouveau enfoncé à fond. J’ai été récompensé par un souffle de sa bouche fortement chargé en alcool. Je continuai à la pilonner en rythme, la regardant bouger tout nue sous la contrainte de mes coups de rein. Ses seins se balançaient à mon rythme. Ses yeux étaient à moitié fermés et ses lèvres rougis par l’envie étaient ouvertes. Bientôt, au bout de 3 grands verres de whisky Denis revint et s’assit à ses côtés. Il a commencé à caresser ses seins. Il était clairement plus hardi maintenant après ces verres. Je me suis même dit qu’après autant d’alcool, il n’arrivera pas a bander. Il continuai en pétrissant l’un, il se pencha pour sucer l’autre. Le regarder explorer la poitrine de Sofia, sa me conduisit au bord de mon orgasme. Elle aussi ne pouvait pas gérer la double attaque et était bientôt en train de griffer le drap et de pousser tout son corps vers le haut. J’ai atteint mon apogée. En déversant ma jute dans sa petite chatte serrée , je l’entendis gémir et sentis sa chatte se resserrer sur ma bite dans un orgasme prolongé.
À bout de souffle, je me suis retiré et je suis allé me prendre un verre. En le sirotant lentement, je me suis assis sur le canapé avec une mi-molle recouverte d’un mélange de sperme et de mouille. Je regardais Denis prendre de la vitesse alors qu’il l’embrassait de partout, l’étreignait et lui caressant tout le corps. Sofia était de nouveau excitée. Elle aussi réagissait à ses assauts. Allongé sur le dos, les cuisses écartées, elle tendit la main et l’attira contre elle. Tous deux étaient en chaleur et oubliaient tout le reste. Je finis mon verre et me levai pour regarder de plus près. Bientôt, Denis pénétrera sa chatte déjà dégoulinante dans la position du missionnaire. Il l’a pénétré et commencé à pilonner à très grande vitesse. Surprenant, Sofia lui répondait mouvement pour mouvement. Quand il l’embrassa, elle l’embrassa en retour. Il a sussuré à son oreille quelque chose que je ne n’arrivais pas à entendre. Mais elle lui a répondu, il s’en fou.
“Baise-moi! Déchire moi! … oui … ooohh!”
J’étais choqué. Était-ce elle? Je n’avais jamais entendu ces mots sur ses lèvres au cours des 3 dernières années.
Il semblait encore plus excité par ces mots et lui donna encore de la queue avec plus de force. Tous deux transpiraient et leurs corps étincelants glissaient l’un sur l’autre dans une frénésie folle. Je me caressait et je regardais Denis retourner Sofia plaça sa queue entre ses fesses bombée et l’enculer sans vergogne d’une seul poussé puissante (or elle ne m’a jamais laissé l’enculer et de ce qu’elle ma dit, personnes non plus avant moi). Elle gémit bruyamment, enfonçant sa tête dans l’oreiller, s’accrochant à la tête du lit, ses jambes se raidissaient et tremblaient. Denis s’enfonçait encore et encore dans le cul de Sofia qui essayer de freiner les violentes poussée de Denis en le retenant en vain avec sa main et je m’imaginais son anus s’ouvrir pour la première fois sous les brutalement poussés de la longue verge tendu de Denis. Soudainement au bout de presque 30mn de labourage, je vis Sofia se raidir totalement et ses fesses se contractèrent sous la pression de la verge de Denis, sans doute gonfler par le sperme chaud se déversant dans son cul. La besogne terminé, il se laissa tomber sur elle, son visage enfoncé dans les cheveux brun près de son cou et le sexe toujours planté dans le cul de ma femme. Après quelques mots échangés entre eux. Je n’y ai pas cru, mais ils se sont endormis… Et Denis est toujours entre les jambes de Sofia avec sa queue coincé entre ses fesses dégoulinantes de sperme. J’ai hésité à les réveiller, mais non, j’ai préféré aller me coucher sur le canapé. Ça sera sa punition pour ne jamais m’avoir fait profiter de son cul (jaloux).
Quand je me suis réveillé, c’était le matin et le soleil était déjà haut. Sofia était toujours allongée sur le ventre, jambes écartées, les draps froissés à ses pieds et du sperme lui coulant encore du cul tellement la décharge avait été longue et puissante. Denis, lui, n’était plus là. Elle s’est réveillée avec un mal de tête et l’anus douloureux.
Elle me dit, je ne me rappelle pas de toute la soirée… et continu à me dire, nous avons baisé puis le garçon est arrivé, il m’a sucer les seins puis ma prise la chatte et plus rien c’est le trou noir… alors dit moi pourquoi j’ai si mal au cul?
Je lui ai répondu, tu t’es endormie avec une bite dans le cul.
Elle ne m’a pas cru mais en se levant du sperme lui coula du cul. Elle devinre toute rouge et est parti prendre un rapide bain, de retour dans la chambre j’ai senti qu’elle était pressée de rentrer. Nous avons fait nos bagages et sommes partis. Elle n’a jamais mentionné un mot de ce qui s’est passé cette nuit là, depuis. En sortant de la chambre, j’ai souri. Nous serions de retour, j’ai juré.